Moyens supplémentaires octroyés à l’Université de Liège dans le cadre d'études de résidus
Sur proposition du ministre de l’Agriculture David Clarinval, le Conseil des ministres a marqué son accord sur l’octroi de moyens financiers supplémentaires à l’Université de Liège dans le cadre d'études de résidus d'azoxystrobine dans le chou-fleur.
Pour le projet en question, quatre études de résidus d'azoxystrobine dans le chou-fleur ont fait l'objet d'un appel d'offres en février 2020 dans le but de fixer une limite maximale de résidus (LMR) sur la base des résultats. Le marché a été attribué à l'Université de Liège pour un montant de 48.859 euros.
En raison des conditions météorologiques, les choux-fleurs étaient toutefois très petits au moment de la récolte dans deux des quatre études. En conséquence, ils ne répondaient plus aux exigences pour être utilisés dans les études de résidus requises pour l'établissement d'une LMR. Afin de pouvoir réaliser une nouvelle fois les deux études, un montant supplémentaire de 12.826 euros a été octroyé à l'Université de Liège, lequel sera imputé sur le Fonds budgétaire des matières premières et des produits.